Le déploiement spatial
de mon travail, c’est à dire la déclinaison « peinture
sculpture » propose au spectateur une articulation possible
de transformation où s’opère par la dissémination
d’unités ou unification en un tout, le propos générateur
d’une
métamorphose.
Création d’un lieu, comme métaphore
de « l’unique » ou de « l’événement
de l’être » qui dans sa diversité au
devenir constitue la richesse de la vie et de son devenir.
La notion contextuelle de ma démarche se
limite moins à la
relation au lieu qu’a celle des unités picturales
et sculpturales entres-elles présentées.
Mais par cela-même, peut-être le lieu
empreinté devient-il
un espace d’investigation et peut-être du devenir pour
celui qui franchit le seuil de la curiosité enfin ; tenter
une modélisation ou objet plastique, capable de faire « se
révéler » les spectateurs en terme d’Être
c’est à dire au lieu de leur « mobilité ».
Le lieu d’investigation que je propose n’est
certes pas tissé de
la matière de la Société Marchande
mais plutôt de l’espace intime, lieu de la métamorphose
possible, là où le chant du poète est capable d’annoncer
un demain.
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